« Vous êtes toutes, tous et chacun, des êtres uniques avec votre identité propre. Ne laissez pas la maladie vous définir car vous n’êtes pas des statistiques et même si l’avenir semble incertain, le plaisir n’a pas dit son dernier mot ».

Johanne Bussières,
Thérapeute en relation d’aide psychologique
et Coach de Vie, Québec, Canada

Selon cette citation et de multiples recherches effectuées sur la notion philosophique du BONHEUR, il paraît essentiel de revenir sur les notions également de plaisir, de désir, d’envie et de réussite.

Toutes ces notions semblent en lien, si je veux être heureux, n’est il pas important que je sois dans l’action d’un désir plaisant pour moi ? Si a cette question nous ne parvenons pas à nous interroger sur ce qui est important pour moi, nous sommes en confrontation avec l’idée que je dois vraiment essayer de me poser les vraies questions, essentielles pour moi et pour ceux qui m’entourent.

Si nous abordons cette notion du bonheur, c’est aussi parce que la maladie, ou la réalité de la vie, peut parfois nous détourner de l’idée que le bonheur est accessible à toutes et tous. Il est évident  que nous devons également aborder la question suivante : mon bonheur est il le résultat inhérent d’événements extérieurs ou vient-il essentiellement de moi et de mes actions ?